Communiqué de presse / Paris, le 8 mars 2024
A l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes, l’ESEO, Grande École d’ingénieurs, met en valeur trois portraits de femmes ingénieures à l’ambition et aux compétences significatives. Laya, étudiante, Mélanie, alumni et Maria-Alice, enseignante-chercheuse et mathématicienne, rendent compte de leur parcours et de leur motivation d’évoluer dans ces domaines. Portraits.
Laya SALAZAR-LAFON : Les nouvelles technologies au service de la santé et des autres
Attirée par le domaine de la santé, Laya Salazar-Lafon est tiraillée entre la médecine et les nouvelles technologies médicales en terminale.
La découverte de l’option Biomédical de l’ESEO fut comme une révélation. A ce jour, l’étudiante suit l’option e-santé accessible sur le campus de Dijon. « Cette option est faite pour moi », affirme-t-elle. Elle ajoute « Elle marie les nouvelles technologies et le monde de la santé. A terme, je souhaiterai effectuer mon stage de fin d’études dans le domaine de la neurologie », qui la fascine depuis le plus jeune âge.
Son objectif à l’avenir ? Se réaliser au sein d’une profession qui lui permette de s’investir dans un projet significatif et qui contribuerait à aider les gens. Actuellement à Buenos Aires, elle suit un double-diplôme en ingénierie informatique lui offrant l’opportunité d’élargir ses horizons personnels et professionnels.
Mélanie SCHMIDT : de la médecine à la tech, il n’y a qu’un pas
A la suite de l’obtention d’un Bac S, Mélanie Schmidt intègre l’ESEO en 2010, sur le campus de Paris.
Passionnée par les matières scientifiques et ayant un attrait avéré pour la médecine, Mélanie se dirige vers l’option Biomédical dans le choix de sa spécialisation pour sa 4e année d’études. Ses professeurs l’ont encouragé à effectuer en parallèle de sa dernière année d’études un master 2 en Signaux et Images de biologie et médecine, en partenariat avec l’Université d’Angers. Une occasion de se rapprocher des fondamentaux des techniques relatives à l’imagerie médicale et du traitement des signaux associés. Son cursus à l’ESEO s’est conclu par un stage de recherche au CHU d’Angers.
Pourquoi entrer en école d’ingénieurs ? Mélanie est catégorique « La tech, les maths, mais aussi l’envie d’apprendre une méthodologie et un cadre de travail reconnus pour les entreprises. Entrer en école d’ingénieurs est à mon sens une façon de travailler au service de la tech ». Elle est aujourd’hui en poste chez Moët Hennessy et évolue en tant que Head of IT Omnichannel CRM, Brand Home et Retail. Un métier qui allie passion et professionnalisme.
Maria-Alice Bertolim : et si les maths faisaient la révolution ?
Maria-Alice Bertolim est enseignante-chercheuse, mathématicienne et responsable de l’option e-santé à l’ESEO Dijon. Doctorante en mathématiques, diplômée de l’Université de Sao Paulo au Brésil, Maria-Alice Bertolim a exercé en tant que professeure à l’Université de Campinas (UNICAMP, Brésil), au sein de diverses universités allemandes, autrichiennes et dans des écoles d’ingénieurs. Aujourd’hui, elle travaille sur la prédiction du cancer du poumon à l’aide de l’intelligence artificielle et du traitement des images.
Un challenge d’enseigner en école d’ingénieurs ? Pour Maria-Alice Bertolim, l’enseignement est avant tout une passion. Après une expérience en tant que professeure en 1990 et ayant obtenu une maîtrise en Mathématiques, elle souhaite poursuivre dans le monde de l’enseignement. Néanmoins, il ne s’agit pas toujours d’une chose aidée. Elle affirme « Enseigner en école d’ingénieurs est un défi pour moi. J’ai une formation et un domaine de recherche plutôt centrés sur les mathématiques abstraites. ». Elle ajoute « Enseigner en école d’ingénieurs est une façon de me mettre à l’épreuve et de combiner la théorie et les applications, offrant un terrain propice à l’innovation : l’un des piliers essentiels du travail d’un ingénieur ».
Contact presse
Lison Behra – Consultante en relations presse
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