5 mois après leur sortie de l’ESEO en septembre 2020, en pleine crise sanitaire et économique, les 250 jeunes diplômés de l’école d’ingénieurs généralistes peuvent avoir le sourire : 96% d’entre eux ont un emploi, preuve de l’attractivité de leurs compétences technologiques et humaines auprès des entreprises.
Cela fait 5 ans que les 250 élèves-ingénieurs en dernière année de formation à l’ESEO sont contactés pendant leur stage de fin d’études pour des propositions d’embauche. Avec 96% d’emploi cette année contre 100% les années précédentes, et donc malgré la crise qui frappe de plein fouet certaines industries, c’est peu de dire que l'expertise de ces jeunes ingénieurs ESEO est encore très recherchée en 2021 ! Car c'est la force de ces formations : elles offrent un diplôme d’ingénieur généraliste qui sait s’adapter aux besoins avec des options recherchées qui pèsent favorablement sur un CV même en temps de crise.
« Ces formations sont une porte d'entrée directe sur le marché du travail », résume Frédéric HUGLO, directeur général de l’ESEO qui propose sur les 3 campus d’Angers, Paris-Vélizy et Dijon 18 options pour un même diplôme d’ingénieur généraliste, « avec des débouchés multiples comme par exemple le biomédical, l’industrie, la ville durable, l’énergie ou l’environnement … ».
Les 4 premiers recruteurs en 2020/21 sont aussi des partenaires privilégiés associés à l’ESEO :
Fort d’un Club entreprises dynamique, l’ESEO développe depuis quelques années de nouveaux partenariats et chaires d’enseignement ou de recherche. Récemment l’ESEO et THALES ont ainsi signé un accord pour former ensemble des ingénieurs en cyber-sécurité, tandis que l’ESEO et la SNCF s’associaient pour une autre formation en Intelligence Artificielle, deux domaines où de nombreuses entreprises recherchent sans trouver des profils spécifiques pour répondre au développement de leurs activités.